Arrivant dans ce village, Gurdil cherchai des yeux une auberge... IL ne put cependant quitter des yeux l'arbre à pendaisons et s'en approcha. Arrivé près du chêne ou gisaient misérablement des cadavre pendus, il remarqua, en regardant autour de lui, que le village était assez mouvementé pour cette heure tardive... Ne voulant se prendre la tête, il attendit donc près de l'ombrage que le soleil est décidé de ne plus chauffer le front du nain...